Salut les veinards!
Je dédie ces mots à tous ceux qui sont partis
En plein soleil ou en pleine nuit
On a peur de la mort mais quand elle arrive
C’est aux vivants qu’elle impose sa narrative
On se retrouve seuls, désemparés
Le coeur et l’âme brisés
La vie continue mais elle n’a plus la même saveur
Les corps se détériorent mais dure est la douleur
On garde des souvenirs qu’on ne revivra jamais
Les chroniques de Maria 